Bloganni 2013 : vos participations au jeu n° 1 (2/2)
Que de bonnes nouvelles pour le 18 avril
ton forsythia en bonsaia à voulu visiter un peu les environs
il est monté sur le Bélem, mais en entendant les mots des enfants
il a soudain pensé qu’il avait un rdv
il avait peur de manquer la date du 10 aout !!
en effet il veut décorer la salle des fêtes-pour les tourtereaux
ou égayer le bar a cochons, il verra bien !
habemus papam nous avons un pape
habemus Caeruleus sciurus
nous avons un écureuilbleu
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bords des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes;
L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre;
Le soir est plein d'amour; la nuit on croit entendre
A travers l'ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini.
Victor Hugo
un peu prétentieux comme titre !
ça c'est comme l'éternité !
oui, là, vous y êtes presque...
quand vous saurez d'où je vous écris, vous comprendrez
et vous vous réjouirez avec moi
Hosanna au plus haut des cieux !
je suis Ailleurs
le grand Ailleurs
l'Au-delà...
"- Mais comment veux-tu qu'on se réjouisse ?
ça veut dire que tu es mort !
- Pas de gros mots ici, s'il vous plaît !
ça veut simplement dire que je suis au Paradis
- tu te moques de nous -
- Hommes de peu de Foi, écoutez mon histoire :
" c'était pendant l'horreur d'un profonde nuit
un animal bizarre devant moi s'est montré
sautillant, tout de bleu coloré..
amusé, dans la forêt je l'ai suivi ...
il me conduisit vers deux petites bêtes...
ce que je croyais être de gros petits chats...
je voulus les caresser mais je n'en eus pas le temps...
un terrible rugissement, un énorme choc et la maman lionne
m'avait jeté à terre me cassant du coup quelque os dans le cou
et me privant ainsi de la vie...
(en viellissant on devient si fragile)
avait-elle faim, a-t-elle dévoré ce qu'il restait de moi ?
je ne saurais vous le dire...
Peu importe je me réveillai... dans les nuages !
tout de blanc vêtu avec une longue robe (à mon âge !)
et deux trucs dans le dos tout emplumés
d'ailleurs, c'est grâce à l'une de ces plumes que le peux vous écrire.
l'encre ? le papier ?
vous êtes trop curieux !
faut croire que je suis un Ange...
Et je connais le Bonheur
la souffrance a disparu... fini de cet oeil qui pleure, ces mollets qui font mal après une longue marche
les dents qui vous déchirent les joues...
le Bonheur, vous dis-je !
le plus important, c'est le pouvoir de rendre heureux ceux qui me sont chers et qui sont restés sur terre
de créer autour d'eux un micro-climat qui les protège à jamais des caprices météorologiques
et des méchants
et Bonheur suprême : je sais que ma Bien-Aimée viendra me rejoindre un jour...
quand ?
le temps n'existe plus ici...
je l'ai tant Aimée...
Adorée,
je ne crains plus le sacrilège...
puisque tout ce que j'écris est supervisé par le Bon Père
comment se manifestera cet Amour ?
mon coeur, ce temple de chair des sentiments sacrés, bat-il vraiment toujours ?
je n'ai pas eu la curiosité de soulever ma robe blanche pour savoir ce qu'il est advenu de notre corps
mais je sais que mon Amour est éternel...
il faut bien que demeure un peu de mystére !
alors...
frères humains qui après nous vivez,
n'ayez jamais votre coeur endurci
et priez Dieu que tous nous veuille réunir
en son doux paradis"