Un film émouvant : "Cherry Blossoms, un rêve japonais..."
Hier soir j'ai regardé sur Arte un film Allemand de Doris Dorrie, sorti en 2008.
Un couple d'une soixantaine d'années part voir ses enfants, et ne les reconnait plus. L'épouse voudrait aller voir son plus jeune fils, Karl, au Japon, mais le mari repousse le voyage. "On aura le temps quand je serai à la retraite". Sa femme n'a vécu que pour lui et pour ses trois enfants, abandonnant tous ses rêves, notamment celui de devenir danseuse de buto, pour eux.
Elle meurt brusquement et son mari mesure alors le vide de son existence sans elle.
Le retour à la maison, avec les deux paires de chaussons côte à côte, dont celle qui ne servira plus, est très émouvant...
En hommage posthume à sa femme, le veuf part à Tokyo et s'installe dans le minuscule appartement de son fils, pour découvrir le Japon à la place de la femme qu'il aimait.
Pique nique sous les cerisiers en fleurs en compagnie de son fils, entouré de familles Japonaises...
Pendant que son fils travaille, Rudy se promène dans les parcs. Sous les cerisiers à la floraison ephémère il a l'impression de retrouver sa Trudy.
Il porte la veste bleue de sa femme et visite les parcs qu'elle rêvait de découvrir. Au coin d'une rue des jeunes lui offrent "Free hugs", des calins gratuits, une accolade.
Il rencontre une jeune danseuse de buto qui va l'initier à cette danse des ombres, qui plaisait tant à sa femme. Yu vit sous une tente. Il va l'entrainer dans son voyage initiatique, comme si elle était sa fille. Ils partent admirer le Mont Fuji, que sa femme souhaitait tellement voir.
Rudy tombe malade et meurt en dansant le buto devant le mont Fuji.
Ses enfants ne comprennent pas plus cette fin en compagnie d'une jeune japonaise de 18 ans qu'ils n'ont compris leur mère qu'ils jugeaient égoïste et pas assez attentionnée avec eux.
La quête de cet homme qui essaie à tout prix et trop tard de comprendre qui était réeellement sa femme, celle avec qui il a partagé sa vie sans la voir vraiment, m'a émue. Les paysages m'ont séduite...
J'ai un cerisier japonais dans mon jardin, un "arbre crapaud" (voir "L'arbre crapaud et le banc solaire")...
Un couple d'une soixantaine d'années part voir ses enfants, et ne les reconnait plus. L'épouse voudrait aller voir son plus jeune fils, Karl, au Japon, mais le mari repousse le voyage. "On aura le temps quand je serai à la retraite". Sa femme n'a vécu que pour lui et pour ses trois enfants, abandonnant tous ses rêves, notamment celui de devenir danseuse de buto, pour eux.
Elle meurt brusquement et son mari mesure alors le vide de son existence sans elle.
Le retour à la maison, avec les deux paires de chaussons côte à côte, dont celle qui ne servira plus, est très émouvant...
En hommage posthume à sa femme, le veuf part à Tokyo et s'installe dans le minuscule appartement de son fils, pour découvrir le Japon à la place de la femme qu'il aimait.
Pique nique sous les cerisiers en fleurs en compagnie de son fils, entouré de familles Japonaises...
Pendant que son fils travaille, Rudy se promène dans les parcs. Sous les cerisiers à la floraison ephémère il a l'impression de retrouver sa Trudy.
Il porte la veste bleue de sa femme et visite les parcs qu'elle rêvait de découvrir. Au coin d'une rue des jeunes lui offrent "Free hugs", des calins gratuits, une accolade.
Il rencontre une jeune danseuse de buto qui va l'initier à cette danse des ombres, qui plaisait tant à sa femme. Yu vit sous une tente. Il va l'entrainer dans son voyage initiatique, comme si elle était sa fille. Ils partent admirer le Mont Fuji, que sa femme souhaitait tellement voir.
Rudy tombe malade et meurt en dansant le buto devant le mont Fuji.
Ses enfants ne comprennent pas plus cette fin en compagnie d'une jeune japonaise de 18 ans qu'ils n'ont compris leur mère qu'ils jugeaient égoïste et pas assez attentionnée avec eux.
La quête de cet homme qui essaie à tout prix et trop tard de comprendre qui était réeellement sa femme, celle avec qui il a partagé sa vie sans la voir vraiment, m'a émue. Les paysages m'ont séduite...
J'ai un cerisier japonais dans mon jardin, un "arbre crapaud" (voir "L'arbre crapaud et le banc solaire")...

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