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Escapade à Budapest : l'arrivée et l'hôtel...

27 Avril 2013 , Rédigé par ecureuilbleu Publié dans #S'étonner

A Genève, aucun souci : tout le monde parle Français et les commerçants acceptent les euros sans problème.

En Hongrie, c'est différent... Peu de Hongrois parlent Anglais, quasiment aucun le Français et l'euro n'est que très peu accepté.

La monnaie est le florin qui vaut environ 1/250ème d'euro.

 

Nous avons voulu prendre un bus à l'aéroport pour rejoindre le centre ville. Aurélien a retiré des florins et reçu des billets.

Le voyage coutait 350 florins par personne : le chauffeur de bus n'a pas accepté un billet de 10 000 florins (environ 40 €). Il voulait de la monnaie.

Aurélien est retourné dans l'aéroport et a demandé à changer de la monnaie à différentes boutiques. En vain. Il acheté une bouteille d'eau et obtenu un petit billet.

Nous avons pu monter dans le bus.

 

Nous sommes descendus à la première station de métro et avons suivi d'autres voyageurs qui montaient un escalier. En haut deux vigiles nous ont empêché de passer et nous ont fait signe de redescendre pour aller acheter des billets. Nous sommes entrés dans le hall principal. Il y avait de nombreux vigiles. Nous avons repéré un distributeur de tickets mais il n'acceptait pas la carte bleue. Il fallait encore de la monnaie. Rebelote. Aurélien est reparti chercher une autre bouteille. Il est revenu avec 1000 florins en pièces et les a glissées dans la machine pour obtenir 3 tickets. Les pièces ont été englouties et les tickets ne sont pas tombés.

Il est allé voir un des vigiles qui parlait un peu anglais et qui lui a dit que la machine ne fonctionnait pas, qu'il ne pouvait pas récupérer ni l'argent ni les billets...

Pourquoi alors ne pas mettre une affichette "machine en panne" ? Le vigile a indiqué à Aurélien une guérite en bois plus loin et il a fini par acheter 3 billets de métro. Pendant ce temps nous avons évité à plusieurs couples de perdre bêtement leurs pièces dans la machine...

Les stations et les rames sont vieillottes, taguées. Peu de décorations, beaucoup de contrôleurs...

 

Nous sommes arrivés en plein centre ville et nous avons rejoint l'hôtel à pied (environ 1,5 kms) en trainant nos valises à roulettes.

L'hôtel était situé dans un immeuble comme les autres, avec une grande porte fermée et un digicode... Explications en hongrois et en anglais. Il fallait taper plusieurs fois sur le 1 pour que la lourde porte daigne s'ouvrir.

Nous avons fini par entrer dans une grande cour intérieure, rectangulaire entourée de balcons en fer forgé avec des chambres et logements sur 6 étages, les deux derniers étant occupés par l'hôtel.

hôtelbuda2

 

hôtelbuda3 

 

hôtelbuda1

 

hôtelbuda4

 

Nos 3 chambres étaient bien réservées (111 euros pour 3 nuits). Aurélien et moi étions au 5ème et Gilles au 6ème. Il fallait prendre l'ascenseur.

Naïvement nous sommes montés tous les trois et avons appuyé sur le chiffre 5. L'ascenseur s'est fermé mais n'a pas bougé. Nous avons lu le panneau : 3 personnes maxi sans bagages. Gilles est descendu, mais nous n'avons pas plus bougé.

Je suis descendue et toujours rien.

Nous avons appuyé sur le 1 pour tester et nous sommes montés au 1er étage mais il en manquait encore 4... Nous sommes descendus Gilles et moi et Aurélien est retourné demander des explications à l'accueil, en anglais.

Il fallait bien appuyer sur le 5 mais 5 fois pour monter au 5ème ! 6 fois pour le 6ème... Jamais vu un ascenseur qui fonctionne ainsi...

hôtelbuda5 

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