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Les participations au Café Thé n° 177 - Portrait d'un(e) cher(e) disparu(e)...

1 Février 2025 , Rédigé par ecureuilbleu Publié dans #caféter

Pour ce 177ème Café Thé, je vous ai proposé de nous brosser le portrait d'une personne disparue, chère à votre coeur ou pas, ou de nous raconter un moment passé avec Il ou Elle.

 

 

Logo créé par Renée du blog "Envie de"

Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 février 2025)

 

 

Vous  êtes 7 à avoir participé (Jill Bill, Cathie, Marie-Sylvie, Vagamonde, Rose, Colette et Livia)

 

et je vous en remercie.

 

Bravo à tous et toutes !

 

Voici les 7 participations, toutes très émouvantes.

 

 

"La taiseuse" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

Elle parlait si peu

Ne disait rien sur rien

A peine souriait-elle au mieux

A chacun des siens,

Elle portait l’habit noir Christine

Et le chignon à l’année

Tricotait ses bas de laine noir aniline

Entre deux chapelets

L’âme qui respecte l’angélus

Devoir de prière

J’en ai encore un rictus

Quand je songe à cette grand-mère

Croyante inconditionnelle

Un cierge entre les phalanges

A l’heure de sa vie éternelle

Qui fait de nous des anges

Coutume ancienne

De nos aïeux bigots...

Elle rendit l’âme en fin de semaine

D’un avril pas manchot

Qui travaille dans les ramures

Et fut enterrée sobrement

Contre le mur

Du cimetière qui détient ses ossements...

Veuve de longue haleine

D’un marchand de bestiaux

Elle se plia sans haine

A la volonté du très haut

Se satisfaisant de peu

Ne se plaignant de rien

Elle allait au mieux

Recevant la visite des siens

Et celle du curé

Dans ses sabots de bois

Le temps d’échanger

Deux mots sur le temps…et sa foi...

Combien j’ai souvenance

D’une vieille femme sombre

Qui aimait les siens en silence

Comme sait être une ombre

Présente mais muette

A qui je ne savais que dire crénom

Les dimanches matin après la quête

En ouvrant sa porte, rue de la Procession...

 

Elle parlait si peu

Ne disait rien sur rien

Auprès de vous mon Dieu

Aime-t-elle se confier, enfin…?

 

"Mon père" de Cathie (sans blog) :

Il m'a "appris" le respect des autres, le Merci, la reconnaissance.

Il m'a surtout fait découvrir et apprécier la nature :  ses fleurs - les
cardamines que j'appelais coucou et les primevères des prés (toutes deux
restées mes favorites) et les boutons d'or,

les arbres, les charmes (haies) l'eau, les sources  d'eau et les petites
sources ou rivières, et les jardins (pour notre jardin ma mère c'était
plus fleurs et lui potager)

mes premières revues "regardées" furent, grâce à lui, ceux de travaux
jardin - maisons

j'ai  aussi aimé la maçonnerie, le ciment, les bâtiments en chantier,
les grues au sujet souvent,

Il m'a aussi donné la joie d'être moi, de me satisfaire et d'être
heureuse de peu, alors que j'avais tout pour avoir

une vie heureuse. Je ne lui ai jamais dit alors ici c'est un hommage et
grâce à lui je suis là.

De toute façon dès qu'on apprécie quelqu'un peu importe le lien qui nous
unit on ne lui trouve que du positif et de la gratitude.

"Un après-midi d'or et d'étoiles, un souvenir éternel" de Marie-Syvie du blog "L'écho de la plume" :

 

C'était une belle journée d'été, le soleil brillait haut dans le ciel sans nuage, répandant une douce chaleur sur tout ce qu'il touchait. 
Nous avions décidé de passer  l'après-midi sur la plage de Concarneau, un de ces endroits préférés. 
Ses cheveux blonds dansaient dans la brise et ses yeux pétillaient d'excitation alors qu'elle courait vers l'eau, riant de bonheur. 
 
Je me souviens de son rire cristallin, un son qui résonnait comme une mélodie joyeuse. 
Elle portait sa robe bleue avec des motifs de petits poissons, une de ses préférées. 
Nous avons passé des heures à jouer dans l'eau, à construire des châteaux de sable et à chercher des coquillages qu'elle aimait tant collectionner. 
Chaque trouvaille était pour elle un trésor inestimable.
 
Gwendoline avait une énergie débordante, et chaque instant passé avec elle était rempli de vie et de lumière. 
À un moment donné, elle s'est arrêtée, les pieds dans l'eau, les mains en coupe pour contenir un petit poisson argenté qu'elle venait de capturer. 
Elle m'a regardé avec un sourire radieux et elle m'a dit :
-" Regarde maman, il brille comme les étoiles  !" 
 
Ce jour là, alors que le soleil se couchait et peignait le ciel de nuances roses et orangées, nous sommes restées assises ensemble, les pieds dans l'eau tiède,  à regarder les étoiles commencer à apparaître. 
Elle s'est blottie contre moi, fatiguée mais heureuse, et nous avons partagé un moment de paix absolu. 
C'était l'une de ces journées parfaites que l'on souhaite pouvoir conserver toujours. 
 
À travers ce souvenir, je revis sa joie, sa curiosité et son amour pour la vie.
Gwendoline continue de briller dans mon cœur, comme ce petit poisson argenté sous le soleil de cet après-midi d'été. 
 
"Mémé Génie" de Vagamonde du blog "Vagamonde-bis" :
 

Ayant vécu toute mon enfance dans un hameau de cinq maisons occupées par seulement deux familles, les distractions étaient rares.
Je me rendais donc très souvent chez ma grand-mère paternelle que j'appelais "Mémé Génie".
Devant sa maison, une petite cour avec des parterres bordés de corbeilles d'argent ou d'œillets.
La plupart du temps, je "jardinais" avec elle.
Je me souviens de tous les parfums et couleurs de ses fleurs...
Selon la saison : roses, tulipes, giroflées, muguet, clochettes, jacinthes, jonquilles, violettes, dahlias, primevères, pensées, lilas, boules de neige, seringat...
Je me souviens aussi des fraises et des groseilles que nous ramassions pour le goûter.
Elle me découpait les fraises, les disposait sur une tartine de pain et les saupoudrait de sucre... Miam !
Que de bons moments !

Simples mais tellement importants !
Je suis sûre que c'est grâce à elle si j'aime autant la nature : les fleurs, les arbustes fleuris, les oiseaux, les papillons...
Elle aimait aussi beaucoup lire.
Je la revois encore avec ses petites lunettes rondes (que je conserve comme un Trésor !).
Elle avait même tenté de m'apprendre à tricoter avec 4 aiguilles pour faire des chaussettes pour mon père qui était journalier chez un agriculteur.
Hélas, je n'ai pas eu la patience ; c'est elle qui a terminé le travail.


Perso, je n'ai réalisé que des écharpes.
Depuis ma retraite, j'ai fait aussi quelques tours de cou, au tricotin.
Enfin, pour me récompenser, elle me laissait prendre soit un berlingot, soit un bonbon coquelicot qui se trouvait dans ce que j'appelais un "papa l'oie" (sucrier bonbonnière en opaline en forme de volatile).
Ne me demandez pas pourquoi ; j'étais très jeune quand je l'ai baptisé ainsi !

Inutile de vous dire que sa présence à mes côtés me manque énormément et ce depuis près de 50 ans...
Mais ainsi va la vie !...

Un souvenir que je dédies à mes deux petits-fils.

"Mon frère" de Rose du blog : "Golondrina63" :

J'étais ses yeux , sa béquille de vie 

A toi mon frère

c'est une manière très belle et profonde de garder le lien

 Même après ton départ.

 Les souvenirs, les moments partagés, les balades

Tout cela fait partie de ce qui me relie encore à toi, et ces moments  continueront à vivre à travers mes mots.

J'écris comme si je  lui parlais encore, en lui racontant comment je le  sens aujourd'hui, en me  souvenant des détails de nos moments ensemble

Une forme de guérison, un moyen de dire tout ce qui reste non-dit, ou tout ce que je n'ai  pas pu lui dire durant sa maladie., ses hauts et ses bas , ses coups de gueule envers moi quand je contrais ses idées  surtout en politique...

Tant de fois il me disait

"V'là la cheffe"

Nos balades, nos  instants de complicité resteront vivants dans mes écrits et dans mon cœur.

Même si ta maladie a été destructrice, tes souvenirs d'antan furent des moments précieux qui ne pourront pas être effacés, et ils seront mon refuge pour moi, une manière de sentir encore sa présence, d'honorer son âme.

  Revenir sur la page précédente d'une vie emportée sans billet de retour

Perdre mon  frère est une douleur immense, et mes mots ne suffisent pas toujours à exprimer ce que je  ressens

Il n'y a pas de bonne manière de vivre le deuil, et chacun vit cette épreuve à sa manière.

Prendre le temps de ressentir et d’accepter ma tristesse est déjà un pas important

 

"Au plus profond de mon coeur" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

 

Il fait noir, il fait presque nuit, mais, le ciel est illuminé d’une pluie d’étoiles. Je suis triste, ce soir, assise toute seule devant le grand lac qui a englouti ma plus chère amie.
Dur est le rocher mais, pas autant que sa vie, depuis ce sombre moment. Elle aimerait tant pouvoir revenir en arrière. Non, ce ne serait certes pas du ski nautique, que nous ferions ensemble ce soir, passion qui a emporté ma copine, hélas.
Pour adoucir ma peine, je rêve éveillée que nous sommes toutes les deux assises chacune sur le rocher bavardant allégrement de notre entrée scolaire.
Mais, ce monologue ne peut s’éterniser alors, levant les yeux vers le ciel, j’aperçois un doux reflet argenté. D’abord surprise et un peu craintive, incapable d’y détacher mon regard car je semble y deviner la présence de mon amie. Je la vois même sur ses skis tenant la corde qui la relie à la chaloupe.
Lasse de fixer plus longtemps la tête vers la gauche. C’est à ce moment que je sens passer, sans rien apercevoir, un léger bruit qui file dans cette direction.
Je me lève alors, pleine d’énergie et toute encouragée dans ma façon de vivre l’évènement. Ma copine est toujours là, oui, différemment cependant mais, vivante plus que jamais, puisque personne ne peut m’en séparer puisque maintenant, elle habite au plus profond de mon cœur.
"La mort au bout du chemin" de Livia du blog : "Livia augustae" :

Il était 20 heures ici, tandis que le soleil incendiait le ciel au dessus du petit clocher de la chapelle, dans une débauche de grenat, d'or de bleu et de gris, laissant la place à la nuit pour s'en aller de l'autre côté de la terre.

Là-bas dans mon île à 7000Km, il n'était que 14 heures, c'était l'heure de la grosse chaleur, l'heure où même la nature fait silence, une heure tranquille, l'heure de la sieste...

Cependant la mort elle, ne dormait pas, elle s'est baladée avec sa grande faucille en fauchant quelques vies, dont celle de l'un de mes neveux.

Quand le téléphone a sonné, j'ai su qu'il y avait un malheur là-bas.

C'était l'annonce de sa mort, mort dans la nuit d'un infarctus, le cœur s'est arrêté, la vie d'une famille s'est arrêtée aussi, un homme – il avait tout juste 50 ans -  s'en est allé brutalement, laissant l'épouse et les enfants sur le bord du chemin de la vie, ainsi que son vieux père dans la détresse.

Que dire devant le chagrin de l'absence ? comment apaiser ce si grand chagrin avec de simples mots, des mots de tous les jours, des mots usés d'avoir trop servis, ils sonnent creux, on n'en trouve aucun assez bien, on les écrits puis on les efface pour en aligner d'autres, qui se brisent à leur tour comme du verre contre la dure réalité de la mort.

J'ai souvent pensé de retour des cimetières où j'avais accompagné et laissé un être cher dans un tombeau refermé, que tout était fini, au milieu du grand vide qui m'habitait, je trouvais que le soleil était inconséquent, voire insolent de continuer à briller dans ce ciel bleu indifférent, alors qu'une vie à laquelle j'étais si attachée s'était arrêtée !

Tandis que, au son du  tic-tac de la pendule, le temps implacable continue sa course vers le futur, vers demain, il a pourtant l'air de passer si lentement... les heures, suivies des minutes et des secondes s'étirent et semblent interminables.

Ce départ m'a remémoré l'absence de mon époux ainsi que l'absence de tous les êtres chers qui s'en sont allés et a fait refluer le chagrin enfoui au fond de moi depuis des années...

Heureusement que le temps, cette gigantesque gomme, efface doucement les grosses peines, sans cette gomme-là on ne pourrait pas vivre.

Et comme le préconisait Miguel de Cervantès : « Il faut donner du temps au temps » !

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K
J'ai apprécié tous les textes j'ai surtout été touchée par Livia quand elle dit le temps cette énorme gomme<br /> çà n'efface pas c'est vrai çà atténue...
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E
Merci ppur ton ressenti sur ces idfférents textes. Bonne soirée
K
Fil conducteur et lien entre les récits des participantes : LE PLAISIR DE SE REMEMORER LES GRANDES OU PETITES CHOSES PARTAGEES, ces LIENS, ces VECUS, ces SOUVENIRS. A voir de près on constate que pour toutes c'est une situation de départ, d'absence, qui ne s'effaceront jamais, des vides qui nous font se souvenir d'un moment ou d'une chose particulière, un rite... d'enfance, d'ado ou d'adulte.... les 7 participantes ont fait des témoignages qui font vivre pour toujours en elles ces amis, familles. C'est là que je reviens au SOUVENIR.mot clé. bonne soirée
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P
Merci pour ces partages plein d'émotions. Bonne semaine. Bisous
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E
Très émouvants ces écrits, des témoignages vrais. Bisous, et merci pour ces partages.
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E
Oui, c'est du vécu. Bonne soirée et bisous
M
Ce sont en effet des témoignages émouvants, les mots font du bien mais ne suffisent pas toujours pour autant à exprimer un immense chagrin...Bisous et une douce semaine
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E
Moi, ils me soulagent un peu. Bonne journée et bisous
L
Tous les textes sont très touchants, les émotions sont exprimées avec délicatesse et retenue bien que le chagrin soit toujours présent. Bravo pour vos partages !!!<br /> Bonne soirée Brigitte !!!
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E
Oui, Sylvie, c'est aussi mon ressenti. Bonne journée
B
De belles participations
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C
Merci Brigitte et, bravo à toutes ! Bisous
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A
J'avais pourtant écrit plusieurs fois sur mon diary LECAS: "Brigitte: portrait d'une personne disparue - "A faire". Et le temps passe, et je ne l'ai pas fait... un peu gênée, je l'avoue, de parler encore de mon Ariane. Mais quel plaisir de lire ce qu'ont écrit tes amis-amies-nautes, y compris la tartine de fraises saupoudrées de sucre. Miam! Bravo à toi et aux participantes, oui! Gisèle, la taiseuse.
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E
Bonjour Gisèle. Tu asc apprécié les textés des particpantes et c'est gentil. Bonne journée et bisous
C
bonjour<br /> un texte simple celui de Cathie sans blog, des valeurs perdues !!<br /> bisous
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R
Un sujet magnifiquement traité par tous, des textes qui mettent des larmes que l'on retient avec peine. Bisous bon samedi
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M
Je vais tout lire, j'ai commencé mais je prendrai le temps !<br /> De beaux témoignages !<br /> https://dans-les-voiles.over-blog.com/article-la-journee-de-la-femme-68775277.html<br /> Merci Brigitte
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E
Bonjour Marine. Je vauis suivre ton lien. Bonne journée et bisous
M
De longues participations. C'est bien.<br /> Bravo. Bonne journée. Gros bisous
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L
De très belles participations sur ce sujet si grave qu'est la mort.<br /> Merci à toi pour ces délicieux cafés thés que tu nous offres tous les mois auxquels je participe avec grand plaisir.<br /> Bisous et bonne journée
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E
Bonjour Chantal. Les appels téléphoniques quand ils viennent de loin apportent souvent des mauvaises nouvelles, commele décès de ton neveu. Bonne journée et bisous
J
des participations toutes émouvantes...<br /> Je n'ai pas eu le courage de participer !
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E
Oui, je comprends
A
Merci aux participants pour ces textes et les différentes émotions qu'ils permettent de ressentir;
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D
beau sujet intime
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D
Tous les récits sont émouvants, impossible d'oublier les personnes aimées. <br /> Bonne journée<br /> bises
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E
Oui, c'est vrai, Danièle. Bisous et bonne journée
R
Quand les mots et les pensées se couchent sur le papier <br /> Seul le buvard recueille les larmes de joie et ou de peine de temps qui passe <br /> Bravo à toutes <br /> À toi Brigitte merci te tenir cet atelier et c'est un plaisir d'y participer <br /> Bises
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E
Bonjour Rose. Tu as rendu un bel hommage à ton frère. Bonne journée et bisous
J
Bonjour Brigitte et tous... Comment oublier quelqu'un qui nous a marquer, profondément.... merci aux plumes, bon W-E, bises jill
Répondre
E
Bonjour Fabienne. Ton texte est émouvant et les six autres aussi. Bonne journée et bisous.